Mes romans et les femmes

Je ne sais pas si c’est le fait d’avoir été élevé juste par ma mère, mais j’ai une infinie admiration pour la gent féminine. Malgré mes deux chromosomes (X et Y) et un appendice supplémentaire, je me rends compte que je n’ai pas beaucoup de points communs avec les hommes. Je n’aime ni le foot ni les voitures et j’adore papoter de tout et de rien. J’ai la langue bien pendue et une sensibilité à fleur de peau.

C’est ainsi que dès mon troisième roman, ce sont les femmes qui détiennent la vedette dans mes livres.

• « Morpho », avec Géraldine, une tueuse à gages. Chose peu probable dans la vie réelle.
• « Un amour de stagiaire » où Margaux, une fille un peu déjantée va venir en aide à un couple en perdition.
• « Enlèvement au Costa Rica » où deux sœurs jumelles sont au premier plan de l’histoire.
• « Les femmes, ces héroïnes », dois-je vraiment développer ?
• « Morpho, la révélation », Géraldine qui découvre enfin sur la vérité sur le départ précipité de son père.  
• Et pour finir, « Les papillons se cachent pour s’aimer ». L’amour de la femme à son paroxysme, mais si j’en disais plus, je dévoilerais en quelques lignes la fin de l’histoire.

Tout ceci pour déclarer haut et fort : les femmes sont formidables et nous, les hommes, nous avons le devoir de les respecter en toutes circonstances.

Vive les femmes.

Diego Rica

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